Les Ombres de l'Amour et de la Liberté
Dans le silence de la nuit, où les ombres gémissent,
Parmi les ruines de rêves oubliés,
Où les amants chuchotent, désormais évanouis,
Un cœur hanté appelle dans l’obscurité.
Le château s'élève, un fort de glace,
Ses murs ornés d'or et de mensonges,
Où la flamme de la passion a perdu sa place,
Et l'amour s'égoutte de soupirs étranges.
Chaque battement de cœur est lié par le destin,
Dans ce bal mercantile où l’on se ment,
Où l’espoir s’écrase sous le poids des gains,
De la richesse amassée, et des serments déments.
Pourtant, dans l’obscurité, une lueur s’illumine,
Une vision d’un monde où l’amour est vrai,
Dans la rébellion partagée, notre esprit s’affine,
Comme des flammes sœurs, nous luttons avec fierté.
Oh, douce défiance dans chaque étreinte,
Où les âmes s'unissent dans un geste de grâce,
À travers les ombres, nous traçons notre empreinte,
Dans la solidarité, notre promesse prend place.
Car l’amour ne se trouve pas dans l’éclat de l’or,
Mais dans les yeux qui scintillent de combat,
Une vision née d’un respect de notre sort,
Dans le froid de la nuit, nous créons notre éclat.
Alors dansons à travers ces couloirs hantés,
Où les spectres du passé peuvent rôder,
Dans chaque pas, une liberté à revendiquer,
Nous reconstruisons notre chez-soi, main dans la main.
Dans le silence de la nuit, où les ombres gémissent,
Nous briserons les chaînes et forgerons notre destin,
Car l’amour, comme la justice, brise le maléfice—
Une révolution née du cœur, un chemin divin.